@article{Rojas Jiménez_2019, title={LA POLITIQUE EXTÉRIEURE DE LA COLOMBIE, Entre l’influence et l’indépendance. Le débat sur le rôle du président et de l’académie de formation des diplomates}, url={https://revistas.uexternado.edu.co/index.php/oasis/article/view/5884}, DOI={10.18601/16577558.n29.08}, abstractNote={<p>Avoir des dirigeants qui ne se préoccupent pas de l’intérêt de la majorité, mais des leurs, est un fait qui caractérise la Colombie et qui est mani­feste à travers la nomination de ses diplomates. En général, ceux qui ont pour habitude de re­présenter le pays ne sont ni les meilleurs, ni les plus qualifiés, mais ce sont les plus proches du pouvoir. Cette situation se traduit par l’exécution d’un travail diplomatique infructueux, dans lequel il n’y a pas de planification à long terme, et qui se limite à la conjoncture présidentielle. La mauvaise image ou le manque de crédibilité dans la capacité de l’État et de ses fonctionnaires, à diriger des processus internationaux, sont le résultat d’un “nanisme auto-imposé”, comme réponse à une série d’échecs historiques et à un manque de leadership qui ne contribuent pas au développement du potentiel international du pays. La construction d’une stratégie commune entre de nombreux acteurs liés aux questions internationales, pourrait contribuer à la gestion de la politique étrangère partagée entre influence et indépendance.</p>}, number={29}, journal={Oasis}, author={Rojas Jiménez, Héctor Heraldo}, year={2019}, month={feb.}, pages={155–174} }